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La noblesse du marron à Aubenas, en Ardèche, depuis 1920

La noblesse du marron,
en
Ardèche depuis 1920

L’histoire d’une passion pour la châtaigne,
née au cœur de l’Ardèche et appelée
à rayonner bien au-delà.

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1904

Sublimer la châtaigne d’Ardèche

C’est au début du XXème siècle que tout commence. Gustave Imbert, œuvrant alors dans l’industrie textile, s’associe à Eugène Contassot, pâtissier albenassien, pour se lancer dans la production de marrons glacés et de crème de marrons.

Ensemble, ils souhaitent sublimer la châtaigne, le trésor local. Naît de cette union un atelier de cuisson et de confisage, situé chemin de Bourgneuf à Aubenas. Les deux audacieux y mettent alors au point des recettes et des méthodes de fabrication qui traverseront le siècle.

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1914 — 1945

Au travers des deux GUERRES

En 1914, la Grande Guerre éclate en Europe et Gustave Imbert est mobilisé au front. La « Société des Marrons Glacés » doit cesser son activité. Une fois la paix déclarée, il revient à Aubenas et redonne naissance, en 1920, à la « Société des Marrons Glacés Imbert ». 

Après la 2eme Guerre Mondiale, Gustave disparaît en 1950. Son fils Maurice reprend l'entreprise familiale. 

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1950 — 1995

Qualité du fruit, excellence du produit

Chef d’entreprise volontaire et obstiné, Maurice s’attache à conserver scrupuleusement la recette transmise par son père, dans le plus pur respect de la châtaigne. Les fruits doivent être triés, épluchés et préparés minutieusement avant la cuisson.

Pas de place pour les artifices : ni glucose, ni autres additifs, seuls le sucre et la vanille de Madagascar accompagnent ce fruit noble. C’est cette exigence qui fera grandir la réputation des Marrons Imbert pour atteindre l’excellence et la « noblesse » - qui s’écrit toujours au fronton de la maison.

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1995

La quatrième génération Imbert prend les rênes

Dans les années 90 et dans un contexte commercial difficile, Maurice Imbert pense un temps à la fermeture de la société. Mais en 1993, sa petite fille Stéphanie le convainc de lui transmettre le flambeau.

Après cinq années de formation auprès de son grand-père, elle reprend les rênes de l’entreprise. Avec Alexandre Nogier - son mari alors - à ses côtés, la nouvelle cheffe ne transige pas avec les fondamentaux de son grand-père.

Elle poursuit le développement de l’entreprise tout en mettant en avant l’excellence du produit.

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2004

La belle ascension

Le succès est au rendez-vous et en 2004, faute de place dans les ateliers, l’entreprise déménage dans un bâtiment flambant neuf à Aubenas. Aujourd’hui, la Maison IMBERT perpétue la tradition dans le respect du fruit et des recettes d’antan.

L’épluchage du fruit avant sa cuisson nécessite qu’il soit d’une qualité irréprochable. Le respect d’un cahier des charges strict est donc nécessaire et l’entreprise privilégie la châtaigne d’Ardèche AOP. La production ardéchoise étant insuffisante, la société diversifie ses achats en Italie, Portugal et Espagne dont les fruits répondent aux mêmes exigences de qualité que les châtaignes d’Ardèche.

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Depuis 2010

À la conquête du monde

Après avoir conquis l’Ardèche puis la France, il fallait conquérir le monde ! Alexandre Nogier, installé au Japon, participe au rayonnement de la marque en Asie du Sud-Est.

Aujourd’hui, la société est fière d’y être associée au savoir-faire Français. Partenaire des plus grands noms de la gastronomie française et nipponne, l’objectif est atteint : 100 ans après sa création, l'excellence des Marrons Imbert est reconnue jusqu’à l’autre bout du monde.

Marrons Imbert
Aujourd'hui

Aujourd'hui, l’entreprise est dirigée par Stéphanie IMBERT, qui perpétue l’héritage familial tout en modernisant les outils de production pour répondre aux besoins d’un marché exigeant.

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